Oeuvre formidablement sensible... Tu t'approches du ressenti de Corot face aux rêves fluides des arbres... Connais-tu "le Pays où l'on n'arrive jamais" d'André Dhôtel (publié en 1955) ? Il nous parle de la poésie de la forêt des Ardennes, comme la plupart de ses oeuvres romanesques... c'était un admirateur de Rimbaud... Belle journée à toi !
Jolie forêt des Ardennes où se mêle avec justesse l'ombre et la lumière. On aimerait bien aller s'y balader, ça doit être super agréable.<br />
Bon week-end à toi et gros bisous